Mon intention n'est pas de décrire d'une manière générale les rapports mère-fille mais d'essayer de parler d'un héritage profond ancestral. Je me suis surprise un jour à reproduire exactement les mêmes gestes que ma mère en terminant par un tic qui lui est propre. Un autre nous-mêmes est là qui nous occupe.Ritsos parle lui-même si bien de cette forme de l'absence qui nous habite au plus profond lorsque parfois la nuit les yeux sur une photo jaunie il nous souvient de son "sourire". DENISE CHALEM