«André le sédentaire toujours en vadrouille lâche en douce comme au turf devant les couloirs à che- vaux quelques rares bons tuyaux il entrouvre sans arrêt des voies de traverse. Il résiste n’a toujours pas envie d’être anesthésié par le positivisme commercial et mondain. Rêveur étoilé et ardent chroni- queur il va son chemin poursuit à son rythme son parcours sous le vent. Certains jours il avance en roue libre cycliste légèrement amoché. Mais on doit s’en convaincre il roule plutôt bien chevauchant les trottoirs avec vingt ans d’avance. À contre-sens comme aiment à le faire les gosses.»