Si dans les dictatures les opposants sont réduits au silence par l'emprisonnement l'exil sinon l'assassinat… dans nos pays démocratiques c'est le mépris le discrédit le lynchage médiatique qui accablent ceux qui refusent la pensée unique les diktats idéologiques les vérités préétablies les modes formatées les causes humanitaires incontournables...
Cette idéologie du dénigrement du mensonge de la stigmatisation est certes moins inhumaine mais tout aussi définitive ; elle qui inlassablement n'hésite pas à mettre en avant le danger fasciste mètre-étalon de l'horreur même si le communisme ce fascisme rouge a fait en 60 ans beaucoup plus de morts. Fasciste ! Le mot claque sur vous comme une porte de prison. Si vous aimez votre pays son histoire sa langue sa culture vous êtes rétrograde réactionnaire donc fasciste ; si vous glorifiez les couples hétérosexuels vous êtes homophobe donc fasciste ; si vous émettez des réserves sur l'islam vous êtes islamophobe nouvelle donne du fascisme ; si vous vous interrogez sur le multiculturalisme vous êtes raciste autre visage du fascisme. Si vous êtes flic gardien de prison militaire vous voilà situé dans le camp de l'oppression et de la violence donc fasciste.
Mais si ces pestiférés ces lépreux comme dit le Président et que l'auteur appelle les « damnés structurels » sont marqués à l'encre indélébile d'autres en étant au mauvais endroit au mauvais moment les « damnés conjoncturels » sont agressés frappés dépouillés parfois tués ou handicapés. Enfin ceux qui habitent dans les cités où la violence et la délinquance sont de règle où les lois de la République n'existent plus.
Ce livre donne la parole à ces nouveaux damnés de la terre française il dénonce les mondialistes acharnés à détruire les nations et leur socle culturel et historique les islamo-gauchistes et les libéraux bien-pensants qui viennent à la rescousse des courants radicaux de l'islam sinon les dédouanent. Le fossé entre la majorité de la population et une « élite » minoritaire se creuse chaque jour un peu plus. Jusqu'à quand le peuple français acceptera-t-il que des censeurs soi-disant vertueux et un pouvoir sans courage cautionnent les violences dont il est victime.