«Deux balles de tennis est le produit de ce que j'appellerais une littérature du vagabondage de la déambulation une écriture qui se plaît à sauter d'un sujet à l'autre dans un apparent désordre au coeur de ce qui pourrait sembler une incohérence mais qui en réalité construit progressivement une cohérence. Je suis peintre et la peinture imprègne mon écriture qui est par conséquent visuelle sans pour autant être descriptive. Je parcours en pèlerin mes souvenirs qui se mêlent s'entrecroisent terminent en portraits.»
Eduardo Arroyo