Résumé :
S’il existe bel et bien des dommages collatéraux ayant ainsi pu être malencontreusement exprimés ici ou là par notamment de hautes personnalités de notre temps mais qui en temps normal n’auraient sans doute jamais pu imaginer pouvoir un jour véritablement tutoyer de la sorte le génie même de la dite oeuvre d’Alexandre c’est bien qu’au travers de la seule personne qu’incarne admirablement l’immortel académicien Jean d’Ormesson qu’il nous est très certainement permis d’assister à un tel anachronisme. Bien que ne cessant de se réclamer de ses maximes depuis fort longtemps déjà cet homme de lettres qui tout en évoluant dans la mondanité la plus absolue aura été pourtant toute sa vie durant comme le contraire parfait de ce que représentait dans l’absolu ce grand philosophe qu’était Diogène. Ayant vécu un temps à l’époque d’Alexandre Le Grand ce dernier aura été néanmoins considéré comme une véritable référence auprès quasiment de toute l’élite européenne. Ainsi en les opposant dans des domaines tous aussi variés qu’improbables pourrait-on malgré tout affirmer après coup que le triangle que forme provisoirement le tandem Alexandre-Diogène d’un côté et l’intellectuel français de l’autre serait à cet égard exceptionnellement capable de provoquer à ce point un tel déplacement de foule… à peine anonyme parfois ?
Auteur(s) :
Homme de plume clairement engagé et spécialiste à ses heures perdues de la Grèce antique c’est à ce titre que l’auteur en question se propose alors de nous faire présentement découvrir un récit qui bien que romancé par des accents quelque peu anecdotiques reste surtout et avant tout extrait d’un passage autobiographique qui remonte déjà à ses 20 ans. Ainsi le moment est donc venu pour nous tous d’assister inévitablement et au travers de ce texte ainsi à la fameuse problématique qui bien qu’étant toujours extrêmement courtoise oppose encore et toujours ce « pouvoir de la République française » face donc à celui de « l’Antiquité hellénique ou hellénistique » mais avec en toile de fond et néanmoins en vedette la désormais légendaire figure de Jean d’Ormesson de l’Académie française. Mais après avoir dit tout ça y aurait-il finalement un quelconque rapport entre précisément la notion de liberté et celle relevant directement de la pauvreté ? C’est en tout cas ce que nous allons tenter d’analyser !